L’équipe de recherche sur l’interaction cerveau-machine de l’université de Tianjin a réussi à développer le premier système d’interaction d’informations composites à base de tissu cérébral artificiel au monde, « MetaBOC ». Ce système cultive des cellules cérébrales humaines pour former un tissu cérébral de type organique doté de fonctions intelligentes, puis le connecte à une micropuce électronique pour contrôler et obtenir une réponse dynamique précise d’un robot. Cette technologie révolutionnaire, qui combine interface cerveau-machine, intelligence hybride et calcul cérébral, ouvre non seulement un nouveau chapitre pour l’interaction cerveau-machine, mais aura également un impact profond sur le domaine de l’intelligence artificielle. La recherche a utilisé la technologie des cellules souches pour réaliser la culture tridimensionnelle de cellules cérébrales, améliorant ainsi la complexité du réseau neuronal, et...

Selon les dernières nouvelles, Neuralink, l'entreprise d'interfaces cerveau-machine de Musk, a mené avec succès son premier essai clinique sur l'humain, implantant un dispositif d'interface cerveau-machine, et a annoncé que le patient se rétablissait bien. Ceci marque une avancée majeure pour Neuralink dans la recherche clinique humaine depuis l'approbation de la FDA l'année dernière. Cette expérience représente une étape dans l'exploration par Neuralink de la voie commerciale, ainsi qu'un résultat intermédiaire des efforts de la société pour développer la technologie des interfaces cerveau-machine. L'objectif final de l'entreprise est de créer une interface cérébrale complète, permettant aux êtres biologiques et aux humains...

Le modèle BrainMagick de Facebook Research décode le contenu vocal correspondant à partir de l'activité cérébrale enregistrée par EEG et MEG. Ce modèle atteint une précision de 72,5 % (Top-10) et de 41 % (Top-1) pour les segments vocaux dans les enregistrements MEG, et il est capable de décoder des mots inconnus. Il offre aux personnes aphasiques souffrant de troubles du langage un espoir de communication non invasive, sans risque de chirurgie cérébrale. Le projet est open source sur GitHub et nécessite une carte graphique avec 16 Go de VRAM.